Double présence ce jeudi matin pour les cartels de la prochaine Feria des Vendanges dans les colonnes du quotidien régional Midi Libre. Tout d’abord dans l’édition nîmoise avec une présentation classique des affiches concoctées par Simon Casas, puis en pages régionales où Roland Massabuau développe la programmation de la dernière grande feria française de l’année. « Des Vendanges avec des nouveautés », tel est le titre de l’article mettant en exergue les cinq toreros qui effectueront leur présentation aux arènes de Nîmes entre le 14 et le 16 septembre 2018.
Un papier qui rappelle que ces cartels ont été « longtemps attendus » mais qu’ils réservent « leur lot de surprises ou de nouveautés » doublé « d’un aspect quelque peu inattendu ». Pensés jusqu’à la dernière minute, les cartels de la Feria des Vendanges compteront sur « la présence de valeurs sûres et régulièrement invitées, à l’image d’Enrique Ponce, Juan Bautista, Sébastien Castella ou El Juli (mais pour une corrida dans un format classique), de découvrir des personnalités marquantes de l’actualité ». Sous sa plume, Roland Massabuau relève la triple confirmation d’alternative lors de la corrida de Victorino Martín, associée à la présentation du novillero mexicain Diego San Román et à la prise d’alternative de « Toñete », « jeune torero actuellement en tête des statistiques dans sa catégorie ».
L’article détache également le cas d’Emilio du Justo, dont les récents triomphes – notamment à Mont-de-Marsan face aux toros de La Quinta – créent la curiosité et une réelle envie de découverte, comme le laisse augurer le passage le décrivant comme « attendu avec une réelle impatience après ses succès répétés et de grande valeur dans les arènes françaises du sud-ouest ». L’occasion également pour Midi Libre de rappeler le retour de Victorino Martín après trois années d’absence aux arènes de Nîmes.
Enrique Ponce, parrain d’une cérémonie d’alternative à Nîmes. La dernière occurrence remonte au samedi 19 septembre 2015, pour la Feria des Vendanges, où il officiait comme parrain d’Andrés Roca Rey, sous le regard de Juan Bautista (crédit photo : Anthony Maurin).